• Les pigistes : Angedesmers, Auréanne, Auriaki, Fredolepro, Joaquel10, Lilandra, Lmf, Mamath, Manoudoc, Saramuch, Sonic2323, Terreur-de_mers


    Pigistes en période d'essai : Dwin, Struck, Igor_tetdemort


    Rédactrice en chef : Undomiel


    Aux lecteurs :
    L'acceptation des pigistes en période d'essai dépend de vous !
    En effet, si je reçois suffisamment de messages de pirates appréciant le ou les articles des pigistes en période d'essai, ils deviendront des pigistes définitifs !
    A l'inverse, au bout de trois parutions dans la gazette, ils ne pourront plus y écrire.
    Merci à vous de m'envoyer un mp disant si vous aimez ou non les articles des pigistes en période d'essai. Si vous n'aimez pas mais que vous avez des idées pour améliorer ces articles, n'hésitez pas !
    Undomiel


    La prochaine Gazette sortira le 11 novembre <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • Déjà, sachez que je répondrais systématiquement non à certaines propositions :
    - j’estime que le sport (foot, base-ball ou autre) n’a pas sa place dans la gazette
    - pas la peine de proposer des rubriques déjà existantes (ex : recettes de cuisine, blagues…) même si vous estimez pouvoir faire mieux que le pirate qui rédige ces articles
    - pas la peine de proposer des concours avec des prix à la clef si vous ne savez pas comment attribuer les prix

    Et retenez une chose : CE N’EST PAS A MOI DE VOUS TROUVER UNE RUBRIQUE, si vous n’avez pas d’idée cherchez-en !
    A présent, place à la Foire Aux Questions

    « J’ai envoyé mon idée mais sans réponse… que faire ? »
    => J'essaie toujours d'y répondre au plus vite. Si ça fait plus d'une journée que tu attend, je n'ai peut-être pas vu ton message... renvoie-moi en un !

    « Undomiel m’a dis OK pour que je devienne pigiste en période d’essai, mais je n’ai pas de nouvelles ! »
    =>Heu… désolé… je note les pirates voulant devenir pigistes à l’essai mais il m’arrive de perdre le papier… envoie-moi un message, tu auras le droit de me taper sur les doigts ^^

    « Je n’ai pas d’idée mais je veux devenir pigiste ! comment faire ? »
    => Cherche ! Au pire, demande conseil à tes amis pirates, mais pas le peine de proposer ta candidature sans idée

    « J’aimerai vraiment devenir pigiste, mais je n’aurais pas le temps d’écrire un article toutes les deux semaines ! »
    => Pas de problème ! Les pigistes peuvent, s’ils le souhaitent, n’écrire que pour une gazette sur deux !

    Si vous avez d’autres questions n’hésitez pas !

    Undomiel<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  •  

    De nombreux pirates m’ont envoyé un message demandant comment devenir pigiste.
    C’est vrai ça, comment devenir un pigiste d’abord ?
    Bonne question à laquelle vous allez trouver, sur cette page et la suivante, une réponse détaillée !

    Il faut tout d’abord remplir certaines conditions :
    Pour prétendre au poste de pigiste, il faut avant tout :
    - avoir du temps pour écrire les articles, être certain de pouvoir être ponctuel
    (rendre ses articles en temps et en heure, pas sauter deux gazettes sur trois ou donner son article une heure avant la publication)
    - savoir écrire correctement (sans trop de fautes)
    - avoir un minimum d’expérience sur zepirates
    (si vous n’avez que 200 XP, qu’est-ce qui me prouve que vous êtes vraiment accroché à zepirates et que vous n’allez pas le quitter dans 2 semaines ?)

    Vous remplissez les conditions ? Parfait ! Vous pouvez passer à la suite ^^

    Je ne sais pas comment ça se passait avec les précédents rédacteurs en chef, mais voici comment ça se passe avec moi :
    Cela se déroule en 4 étapes :
    - le projet (l’idée)
    - l’exemple
    - le test
    - entrée dans la gazette

    Juste le nom des étapes ne vous aide pas beaucoup, donc explication à la page suivante !
    Vous aurez la description de chaque étape.
    Allez, on prend une grande respiration et on tourne la page ^^

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Etape 1 : l’idée
    Vous devez avoir un projet (une idée de rubrique que vous pourriez tenir). Vous m’envoyez simplement un mp en expliquant ce que vous voudriez faire !
    Si je trouve l’idée bonne, passez à la seconde étape !

    Etape 2 : l’exemple
    Vous devez écrire un article comme s’il allait paraître dans la gazette pour voir ce que ça donne. Si je valide, passez à la 3e étape !

    Etape 3 : la période d’essai
    Je demande à Sissi si je peux vous mettre Pigiste en période d’essai. Si elle est ok, vous écrirez vos articles durant 3 gazettes, et on demande aux lecteurs ce qu’ils en pensent. Si l’article les intéresse et qu’il apporte quelque chose à la gazette, alors passez à la 4e étape !

    Etape 4 : vous devenez pigiste !
    Je demande à Sissi si elle est d’accord pour vous mettre pigiste. Si c’est le cas, vous êtes engagé pour de bon dans l’équipe de la gazette !!

    N’ayez pas peur, lancez-vous !

    Undomiel
    </o:p>


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  • Face au vide intersidéral de notre boite à lettre qui nous entraîne dans une déprime persistante, nous nous demandons si l'idée de mettre en place un courrier des lecteurs à la gazette vous semble, à vous lecteurs une bonne idée...


    Sondage : le courrier des lecteurs est pour vous une idée :
    1/ super
    2/ encore à améliorer
    3/ sans intérêt voire une perte de temps


    Veuillez envoyer vos réponses et commentaires par MP sur le sujet à notre rédac' chef Undomiel !!!

    Merci d'avance de nous aider à améliorer chaque jour la gazette !

    Saramuch<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • Vous avez étés près d'une trentaine à répondre à cette question !

    Ainsi donc, chers pirates, il y a en moyenne :
    - 6 pirates sur 10 qui vont fêter Halloween
    - 3 pirates sur 10 qui ne vont pas le fêter
    - 1 pirate sur 10 indécis

    Et bien, ça va en faire du monde !

    Certains pirates ont développés leurs réponses, en voici quelques extraits

    "Ma réponse est oui, pour la bonne et simple raison que je suis directeur de crèche et qu'il serait malheureux de rater une occasion de faire des choses originales avec ces petits mousses !"

    "je ne sais pas encore, je verrais.
    Peut-être me faire une petite cuite à la taverne la plus proche pour oublier tout mes problèmes avec le capitaine !"

    "Non car pour moi ce n'est pas une vraie fête, ça m'embête un peu quand on sonne à ma porte pour les bonbons, j'en donne quand même mais c'est embêtant, l'entourage fantaisiste d'halloween, je n'aime pas"

    Merci à ceux qui ont répondu !

    Undomiel <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • "De mon temps" ? C'est quoi ça ?

    Et bien, très chers pirates, c'est une toute nouvelle rubrique qui vous attend à partir de la prochaine édition de la Gazette !

    C'est un article mi-RP (où j'invente une histoire) mi-réelle...
    Cela parlera tout simplement de zepirates à ses débuts ! Enfin, à partir du moment où je me suis inscrite, ce qui remonte à près de 3 ans.

    Dans cet article, les jeunes pirates pourront découvrir le zepirates d'avant et les plus vieux pourront se rappeler de vieux souvenirs...
    A travers une histoire contée comme le souvenir d'une personne âgée, vous pourrez vous imaginer ce qu'était zepirates et tous les changements qui l'ont fait évoluer !

    "De mon temps", c'est une formule bien souvent employée par les personnes âgées nostalgiques qui disent "c'était l'bon temps !"
    Attendez-vous donc à trouver dans cet article une Undomiel âgée, rouspéteuse et éternellement insatisfaite
    (comment ça ça ne vas pas changer beaucoup ??)

    A bientôt dans cette nouvelle rubrique !

    Undomiel <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • Hep là bande de loutres dégénérées !

    Ce coup ci c’est une édition spéciale « fête des morts » à ce qu’il paraît… Alors suivez bien les doses et les p’tits conseils que je vous donne et vous devriez passer cet événement dans une ambiance des plus morbides… Avec mort spontanée éventuelle de quelques personnes partageant votre repas.
    Encore et toujours pour 5 personnes.

    ¤L’entrée : Soupe surprise de potiron.

    Devinez quoi, pour une soupe de potiron il vous faut du potiron… Si ça vous chante de vous procurer une modeste courge grappillée chez une fermier, à votre aise ! Perso je préfère partir à la chasse au monstre à tête de citrouille que l’on peut trouver du côté du septentrion de l’île hantée (la grosse île au nord-est de ZepiratesLand pour les incultes). Dans ce dernier cas, pensez à vous prémunir d’une bonne hache de guerre barbare… L’aspect est rustique mais l’efficacité optimale.
    Quelque soit votre choix de cueillette, vous avez à présent dans les mains un superbe potiron orangé !
    Découpez un large cercle au sommet de la courge pour pouvoir extraire la chair du légume au couteau. Mixez comme vous le pouvez cette chair avec 30ml de lait de chèvre caillé par 100g de citrouille. Ajoutez de l’eau pour avoir un aspect plus liquide à convenance. Maintenant, vous vous rappelez des abats d’éperlan que je vous avais dit de garder le mois dernier ? Ben c’est le moment de les ressortir ! Laissez mariner ça 3 bon jours à température ambiante et ça sera suppureux à souhait ! Si vous ne savez pas de quoi je cause ou que vous avez perdu ces foutues tripes de poiscaille, une tête de rat des cales malade hachée menu fera l’affaire. Servir brûlant pour habituer votre palais ainsi que le reste de vos voies digestives à souffrir.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

    ¤Le plat de résistance : Vessies de kangourou nain farcies aux restes de saumons.

    Les kangourous nains se faisant rares dans nos contrées, je vous conseille d’aller voir l’échoppe de Ganluru le taciturne. Les meilleures vessies de ce type de bestiole aux meilleurs prix ! Surtout si vous lui payez une pinte de rhum…
    Faites gaffe que les vessies aient bien été vidée au préalable puis laisser les pour un peu moins d’une semaine dans un endroit chaud et humide.
    Pour ce qui est du saumon, le pécheur ou le poissonnier du coin sera votre meilleur allié : il sera ravi de vous remettre tout ce qui n’est pas du filet de ce poisson plutôt cher pour le commun des pirates (gratuit pour vous pour l’occase). Découpez en petits morceaux et faites frire dans un peu d’huile palme. Mélangez à une vieille miche de pain rassis émiettée et humidifiée. Vous obtiendrez une sorte de pâte dont les effluves vous inviterons rapidement à l’isoler dans les vessies… Ouvrez les vessies à l’aide d’un couteau très tranchant (la peau de ces organes est très élastique et résiste à a lame d’un couteau mal aiguisé) et fourrez les de la farce poissonneuse préparée plus tôt. Refermez avec précaution à l’aide de ficelle résistante. Placez ensuite les vessies au nombre de cinq dans un pot de terre deux nuits durant.

    ¤Le dessert : Bonbons farceurs
    C’est plus un concept qu’une recette pour cette fois.
    L’idée est d’enrober des boulettes (de 1 à 2cm de diamètre) de n’importe quoi sous une fine pellicule de chocolat fondu. Pour un effet optimal, il faut que certains de vos bonbons est au mieux un goût « neutre » (boulette de riz, de farine humide, mie de pain sec, chair de crabe non putréfiée, papier mâché, etc.) accompagné d’autres aux saveurs plus « exotiques » (poumons de grenouilles, déjections mouettesque, truffe de loup lépreux, œil de blurp, ravioli tchétchène, etc.).

    <o:p>

    NB : Toute ressemblance avec des sucreries magiques dont s’empiffre un certain sorcier britannique scarifié sur son front ne serait que pur fruit de votre imagination malade et intoxiquée à outrance à quelques spiritueux neurotoxiques (ouais ça embrouille bien comme il faut se genre de phrase).

    Sans réfléchir très longtemps, on se rend vite compte que le potiron peut servir à faire de la déco plutôt en vogue lors de cette fête. Vous noterez que si vous vous appliquez à chasser une « face ce citrouille » comme je les appelle, vous n’aurez pas à découper le faciès du légume…
    Les vessies de kangourou ont la particularité d’attirer les lampyres. Donc si vous laisser pendouiller au bout d’un fil une de ces vessie quelques jours, vous obtiendrez la nuit un magnifique lampion luisant d’un vert fluorescent. Excellent donc pour une luminosité macabre.
    Les bonbons n’ont pas d’autre rôle que de faire rire un bon coup. Certains diraient : « Et c’est déjà pas mal » et moi j’dis pareil.

    Comme vous avez pu le remarquer, il faut se bouger l’arrière train pour préparer ces plats. C’est pour une occasion spéciale aussi, alors faut mettre le paquet !
    Mais ne vous tuez pas quand même à la tâche en cherchant les ingrédients, la « digestion » s’en chargera…
    Mouhahahahah !

    Igor_tetdemor<o:p></o:p>

    </o:p></o:p>

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  • Bonjour à toi ami lecteur ! En cette soirée d'halloween, les monstres sortent. Les plages, forêts, cimetières deviennent des lieux dangereux ! Prends garde à toi !


    Au cours de cette nuit bien mystérieuse, tu rencontreras surement un spectre maudit, un léviathan, un rat des cales ou encore bien plus terrible, un dragon osseux... une vieille légende parle aussi d'un monstre mystérieux non référencé dans le bestiaire de zepirates, qui sort de sa torpeur cette nuit là et viens errer et tuer dans nos contrées... Peu l'aurait rencontré, aucun n'en serait revenu...


    Mais si jamais tu devais survivre en cette nuit et croiser ce monstre mystérieux, serais-tu assez aimable de nous envoyer sa description afin que chaque pirate puisse désormais être au fait de son existence ?


    Ceci est un concours, mais encore une fois, ami lecteur prend garde... ce mystérieux monstre est vraiment très dangereux ! à vos plumes !!!

    Saramuch <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • Voici quelques blagues sur Halloween :

    ==> Quel est le comble pour un fantôme ?
    - Être dans de beaux draps

    ==> Maman Vampire à bébé vampire :
    - Ne suce pas ton pouce tu pourrais te blesser!

    ==> Quel est le plat préféré des vampires?
    - Des croque-monsieurs.

    ==> Une sorcière explique à une autre sorcière :
    - J'ai mis mon crapaud dans la baignoire il y est plus heureux.
    - Et quand tu veux prendre un bain ?
    - Il ferme les yeux.

    ==> Est-ce que cela porte malchance d’être poursuivi par un chat ?
    Pour une souris, oui!

    ==> Un homme en train de se noyer dans un lac crie :
    - Au secours je ne sais pas nager !!!
    Un squelette qui passe par là lui lance....
    - Bienvenue au club !

    Voila, à dans 2 semaines !

    Lmf <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • Chers pirates et piratesses !

    Ce mois-ci, j’ai été interpelé par la question de saloria. En effet, cette piratesse pleine de malice s’interroge sur l’inconnu de la Taverne… Et voici sa demande :
    « Est-ce profitable de voler l'inconnu de la Taverne ? Pourrait-il s'en rendre compte ? ».
    Pour un pirate, le vol est généralement profitable… Enfin, disons que tout dépend des répercutions de son acte… Entre enrichissement et jugement il y a quand même une grande différence. Donc pour résumer, tout repose sur le fait que sa victime se rend ou non compte du petit désagrément financier… Il y a aussi le risque de voler un objet renfermant une malédiction mais là je crois que je m’égare... Mes oracles seront bien mieux répondre à cette question alambiquée.

    Je partis donc m’installer confortablement, mes cartes en main.
    Toute mon attention retenue par cette question, je commençais à positionner mes cartes. Après les avoir retournées une à une un sentiment d’angoisse m’envahit… Je n’aimais pas l’aspect que cela prenait et plus j’avançais dans mes conclusions plus l’inquiétude montait.
    L’oracle placé à ma gauche était celle des Ruines. Cette carte posée en position favorable ne m’indiquait pourtant rien de bénéfique. Au contraire, elle suggérait que le meilleure qui puisse arriver à un pirate décidé à voler l’inconnu de la Taverne était l’échec !
    Placé à ma droite, « les oiseaux des îles » renforçaient mon sentiment de frustration. En effet, cette carte, représentant le côté défavorable de notre demande, accentuait sur le fait qu’il valait mieux éviter tout entretien ou conciliabule à propos d’un vol éventuel.

    Comment un pirate pourrait-il réussir un vol sans un minimum d’organisation ? Mes oracles auraient-ils bu ma bouteille de rhum 32 ans d’âge que je ne retrouvais plus ?
    Essayant d’oublier le profond chagrin issu de la perte de ce rhum, je me concentrais de plus belle sur mes carte. La suivante était une des cartes les plus fortes du jeu : l’Enchaîné, le Despotisme… Rien de très bon ne ressortait de cette révélation : essayer d’abuser de l’inconnu de la Taverne reviendrait à se poser tout bonnement comme victime. Quoi que l’on fasse contre lui, cela nous retomberait inévitablement dessus.
    Je fus ensuite choquée par ma quatrième carte. Non pas parce qu’elle s’alignait sur les autres mais parce qu’elle en différait du tout au tout. L’oracle de la Lyre, des plaisirs, contrastait par sa positivité mais aussi et surtout par sa position : celle du résultat possible ! Au premier abord, on pourrait conclure que voler l’inconnu de la taverne n’apporterait que du bénéfique dans la vie du voleur mais, après réflexions, en regardant plus attentivement le jeu, je me suis rendue compte du contraire. Les trois oracles précédents étaient assez explicites, ils allaient tous les trois dans le même sens : il ne fallait surtout pas essayer ou ne serait-ce qu’organiser les préparatifs d’un vol. En s’appuyant sur cela, je peux tout simplement interpréter qu’au final, pour avoir une vie agréable et rempli de plaisir il est nécessaire de ne rien attenter envers notre cher inconnu.
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    Pour vérifier ma conclusion, je décidai de recouvrir ma dernière carte. Cette dernière, correspondant à la synthèse de la question, était la carte de la Chauve-souris. Sa signification est le vol et la perte. Je n’en apprenais donc pas beaucoup plus sur la question… Le premier oracle à la recouvrir fut celui des Deux Epées : le procès. Cela ne m’aidant pas beaucoup je la recouvrais une deuxième fois et là plus aucun doute… Le trafic : l’oracle du caducée associé à la Chauve-souris signifie une négligence fatale au sujets d’affaires véreuses…

    Il ne fait aucun doute que le vol de l’inconnu de la Taverne est très loin d’être profitable. Je ne peux tout de même pas dire s’il se rendrait compte ou non d’un vol à son égard mais quoi qu’il en soit je ne conseille à personne d’essayer afin de pouvoir répondre à cette question...


    Auréanne <o:p></o:p>

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  • Zepirates.com, vous vous êtes inscrit vous y êtes resté et vous vous y plaisez ! Entretenir son pirate cela prend beaucoup de temps mais c’est un tel plaisir que l’on ne peut s’en passer.

    Vous êtes nombreux à grogner lorsque on ne répond pas au combat en mer et autre ainsi votre Gazette vous propose ici à tous des modèles de mp afin de faciliter les démarches.
    Il vous suffira simplement d’effectuer un copier coller et le tour est joué, cela vous prendra quelques secondes pour demander ou répondre à un combat en mer.

    Demande de combat en mer :

    Salut pirate, j’ais ouïe dire que tu te défendais bien sur terre mais en est-il de même sur mer ? Tu prépares les boulets ou préfères-tu la fuite .. ?

    Réponse positive au combat :

    Bien l’ami prend une dernière photo de ton navire car quand j’en aurais fini avec toi, il ressemblera plus qu’à un radeau mité !

    Réponse négative au combat :

    Désolez l’ami, mes boulets ont pris l’humidité, je dois encore les sécher, il te faudra trouver un autre adversaire. Bon courage et à bientôt.

    Voilà maintenant plus d’excuse pour ne pas répondre aux demandes de combats en mer, pensez y cela fera gagner du temps à tous.

    Angedesmers

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  • Bienvenue sur vos Zinfos de Zepiratesland la page qui vous zinforme …..

    Attention nous rappelons que le perroquet à Zepiratesland est indispensable au décor. Il n’est pas qu’une bête de combats même si ces derniers sont tolérés mais n’oubliez pas de lui apporter également toute l’affection qu’il mérite. Nourrissez et dorlotez votre perroquet avant que le mouvement de libération et protection vous tombe dessus !!!

    Nous voilà en période d’Halloween ainsi il vous sera demandé de ne pas confondre les véritables monstres de terre et de mer qui hantent nos territoires avec les gentils et rigolos pirates qui veulent simplement fêter Halloween en se déguisant en de véritables terreurs afin de vous effrayer.

    Zepiratesland bombardé par les déjections de perroquet ! Comme vous avez pu le constater à Zepiratesland ce n’est pas sur une pelure de banane que vous risquez de glisser mais sur une marre de fiantes. Ainsi le conseil des pirates recherche des bénévoles afin de participer à la journée du grand nettoyage de nos ruelles ! Le materiel vous sera offert par les commerçants sympas !

    Vu le nombre de navires croissant à Zepirateport, le conseil des pirates se voit obligé d’augmenter la taxe de séjour au port. Une augmentation de trois drakos par jour est à prévoir pour le stationnement de votre paquebot début 2008.

    Angedesmers

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  • Nom : Sôhk
    Prénom : Inconnu

    Signalement : peau écailleuse marron, pince à la place des mains, yeux rouges sans pupille, pas de jambes (se déplace à l’aide d’une sorte de queue), deux petites cornes sur la tête, quatre grandes cornes dans le dos, muscles saillants.

    Motif : terrorise les habitants du village tout les ans à la même époque.

    Signes comportementaux particuliers : ne surgit que dans les endroits obscurs, comme les ruelles étroites ou les caves, les jours de pluie, ou encore de nuit, ne semble avoir pour but que de semer la terreur parmi les habitants, se montre souvent hostile, voire mortel.

    Prime offerte pour sa capture : 20000 drakos ainsi que sept des fameuses étoiles du mérite.

    Tereur_de-mers <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>


    Attablée devant un vieux rhum aux reflets mordorés, j’attendais dans cette taverne presque déserte le jeune pirate qui allait m’acheter à prix d’or l’objet que je faisais sauter dans ma main gauche, la face II du dé d’ivoire de Davis Cœur-de-Pierre – une contrefaçon, sans doute, mais qu’importe, si la crédulité obscurcit la raison. Vous qui fréquentez ces salles mal éclairées, à l’heure où baissent les conversations et se révèlent de noirs secrets, vous avez sans doute entendu parler de cet homme qui conquit un jour un trésor fabuleux qu’il enfouit dans une île connue de lui seul ; aucun de ses compagnons ne revint au port. On dit aussi qu’à sa mort il laissa à chacun de ses fils (tous de mères différentes, comme il se doit pour un tel homme) un indice qui le mènerait à l’or, la face d’un dé d’ivoire : celui qui réunirait les six faces trouverait le trésor des galions espagnols.

    Mais l’histoire de Davis, celle que je veux vous conter ce soir, en attendant Sullinde, est celle d’un pirate qui chercha la rédemption, et je ne sais s’il la trouva.

    *********
    Il s’appelait Davis Stoneheart, Davis Cœur-de-Pierre. Je vous laisse imaginer de quelle glorieuse façon il gagna son surnom… Il était Anglais par sa naissance hasardeuse, bien qu’il ait renié l’idée de patrie, né de la rencontre éphémère d’un marin à la bourse bien remplie et d’une fille d’auberge de Portsmouth qui rêvait d’ailleurs ou de pièces sonnantes : le marin ne passa pas la nuit, emporté par cette sorte de fièvre du jeu qui existe sous toutes les latitudes et qui parfois se conclut de sanglante manière ; quant à la fille, sa joie disparut quand elle fut grosse, et l’enfant grandit dans la rue, sans affection excessive, et de ruelles animées en traverses mal fréquentées il échoua dans le port, écoutant les histoires des marins jusqu’à pouvoir s’embarquer.

    <o:p>

    Oui, Davis avait une belle âme de pirate : trucidant sans excès ; buvant plus que de raison les soirs où elle s’égarait ; perdant sans ciller son or sur une table de jeu car un de ses hommes guettait l’infortuné gagnant au seuil de la taverne ; pillant sans vergogne les bateaux qu’il arraisonnait ; ne supportant guère la contradiction et tranchant dans le vif de son interlocuteur s’il se montrait trop insistant – et s’il parlait parfois de Dieu, ce n’était certes pas dans ses prières. Toutes qualités qui faisaient de lui un marin à la main sûre et un capitaine compréhensif.

    Mais ce jour-là, Davis était furieux. Il avait abordé un galion espagnol qu’on lui avait promis chargé d’or à n’en plus flotter que par miracle ; en fait d’or, il n’avait trouvé que des bibelots destinés à de belles Madrilènes exilées. Le navire ne transportait que les femmes et les enfants des soldats installés en une lointaine colonie ; pour cette inutile conquête il avait perdu trois hommes de L’Absolution. Le capitaine et les derniers marins survivants ne passèrent pas l’heure. Quant aux passagers… les femmes implorèrent miséricorde, mais l’on sait que Dieu est sourd aux prières de ses enfants. Il serait néanmoins absurde de nier le bien-fondé de la religion, car le Diable, lui, répond toujours et pour l’instant dansait une sarabande effrénée dans le crâne du capitaine désappointé.
    On rejeta les corps à la mer qui se teinta aussitôt de sang. L’Absolution, toutes voiles dehors, s’éloigna du lieu du massacre tandis qu’on jetait de grands seaux de mer sur le pont souillé.

    - Holà ! cria la vigie.
    Quelques pirates quittèrent leurs tâches, alertés par le cri de leur compagnon. L’homme regardait vers l’arrière. Clignant des yeux face au soleil couchant, ils contemplèrent la mer, pétrifiés et incrédules, comme face à une apparition.

    - Appelez le capitane ! ordonna le second.
    Davis rejoignit à son tour le château arrière, encore sous le coup de sa déconvenue.

    <o:p>

    Ses hommes ne pipaient mot, attendant son jugement. Lui n’avait connu que la violence et les mensonges et il ne croyait qu’en l’or qu’il dérobait avant d’envoyer un navire par le fond. Il ne croyait pas en Dieu… peut-être au Diable… et ses hommes croyaient en lui.

    - Vous la voyez, Cap’tain ? Hasarda le mousse.
    - Je la vois.
    Comme eux, il contemplait l’incroyable tache rouge bordée d’écume qui suivait leur sillage, la même qui avait entouré, l’espace de quelques instants, le navire espagnol lorsqu’ils avaient jeté les corps par-dessus bord, suscitant la frénésie des requins.
    Davis contempla les visages pétrifiés et éclata de rire. Il les accabla d’injures : ah, vraiment, ils étaient de fiers gaillards, eux qui tremblaient devant une tache comme des enfants devant une goutte de sang ! Voulaient-ils des sels ? Portaient-ils cotillons et dentelles ? Qu’avaient-ils donc au ventre ? Ils se tenaient comme des curaillons devant les statues de leurs saints ! Davis conclut sa harangue en distribuant force coups et regagna sa cabine, trouver consolation dans une flasque de vieux rhum, le seul butin de la maudite carcasse qui reposait désormais au fond des mers ; les Espagnols, vraiment, tous menteurs et sans le sou !

    Mais Davis s’était trompé en croyant lire de la peur dans les yeux de ses matelots : la peur a un objet précis, elle s’incarne en quelque chose contre lequel on peut lutter, elle se noie dans une bouteille suffisamment remplie ou sous les jupons d’une fille. Et quelle faute craindraient-ils, eux qui les avaient presque toutes commises ? En vérité, si l’âme d’un pirate ne ressent plus guère les troubles de ce monde, leur cœur fut saisi par le silence, l’éblouissant silence qui suit la curée, le terrible silence qui guette le soldat lorsque les mousquets se taisent, le silence qui ne le quittera plus… et l’impatience, elle, les quitta, le désir impétueux de courir les mers, l’envie du port et qui sait même, pour certains d’entre eux, l’amour qu’ils auraient pu rencontrer…

    <o:p>

    La tache les obsédait. La vigie ne la quittait plus des yeux, les hommes abandonnaient leurs occupations sans savoir pourquoi. Ils n’échangeaient plus de plaisanteries grivoises ou de paroles grossières sur le pont, ils ne spéculaient plus sur la cargaison du prochain galion qu’ils aborderaient. Le capitaine avait mis en perce le dernier tonneau, et l’équipage avait bu, mais quand les gobelets se fracassèrent par terre, aucun n’était ivre. Leurs regards, toujours, exprimaient cette obscure crainte, teintée ce soir-là d’une mélancolie inconnue. L’homme de quart lança son verre à moitié plein dans la mer et s’écrasa sur le pont.

    Irrité, Davis appela l’érudit de l’équipage, le sommant de trouver une explication – autre que divine ou surnaturelle – sinon il le payerait de sa tête. Le garçon, qui avait de vagues notions scientifiques, parla de l’attraction du sillage de L’Absolution sur le sang des passagers ; l’eau de mer et le sang constituaient des corps étrangers qui ne pouvaient se mélanger, le second restant à la surface et suivant le courant créé par le navire. Il jura qu’en traversant la zone de courants chauds la tache serait aspirée par un courant plus violent. La zone se trouvait à deux jours de navigation.
    Durant ces deux jours, l’équipage fut comme ployé dans l’attente d’un châtiment qu’il ne pouvait éviter. Accoudés au bastingage, le regard absent, les marins répondaient invariablement à leur capitaine excédé :

    - J’attends, Capitaine.
    Ce qu’ils attendaient, ils l’ignoraient. Le nouveau guetteur sauta aussi et malgré les menaces personne ne consentit à remonter là-haut. Davis exécuta deux hommes, pour l’exemple ou pour apaiser son esprit désœuvré et vaguement anxieux. A l’approche de la zone chaude, la tache louvoya. Celui qui avait exposé cette théorie annonça que le lendemain elle aurait disparu.

    Redemption, Challenger n°3<o:p></o:p>

    </o:p>
    </o:p></o:p></o:p>

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  • Première partie : L’errance d’une inconnue

    La jeune femme se hissa en rampant sur la plage, recrachant l’eau de ses poumons, tentant de reprendre son souffle. Ses cheveux noirs mouillés lui tombaient sur le visage et se plaquaient contre sa peau halée. Arrivée un peu plus haut sur la plage, elle s’arrêta et posa sa tête sur le sable, à bout de souffle. L’orage gronda au loin, au-dessus de l’océan, se rapprochant doucement de la plage. La naufragée se tourna sur le dos avec une grimace de douleur. Ses vêtements déchirés laissés voir de fines lignes sanglantes, incrustées de sable. Elle en avait sur le visage, les bras, les jambes, le ventre, une en travers du torse, et sûrement d’autres dans le dos, lignes aux bords déchiquetées, de sales blessures... Elle toussa et se tourna, vomissant de l’eau salée. La pluie se mit à tomber sur elle, rinçant ses blessures. Elle se rallongea sur le sable et ouvrit la bouche, cherchant à capter la moindre goutte d’eau pour apaiser sa soif et sa gorge brûlante. Au loin, le soleil finissait de se coucher, et plus près, un éclair illumina le ciel, accompagné d’un roulement de tonnerre. L’eau se mit à tomber de plus belle et la tempête était maintenant au-dessus de la plage.

    La nuit passa, ainsi que l’orage, la jeune fille était toujours étendue sur le dos, ses yeux verts grands ouverts. Les seuls bruits étaient le ressac et les cris des mouettes, un silence marin qu’elle écoutait, espérant quelque chose sans savoir quoi. Son esprit était brumeux, embrouillé et un mal de tête lui martelait le crâne, ses blessures la brûlaient, surtout celles du dos, encore incrustées de sable. Elle tentait de dissiper les brumes de son esprit. De se rappeler ce qu’elle faisait là, que s’était-il passé pour qu’elle échoue ici ? Et une autre question la tourmentait encore plus, broyant son estomac de peur de ne jamais trouver la réponse. Qui était-elle ?

    Quand la chaleur du soleil au zénith se fit sentir, elle se remit sur le ventre et se remit à ramper, espérant trouver des rochers et leur ombre. Le sable et les coquillages lui râpaient bras et jambes. Elle ne voyait que des ondulations de chaleur au niveau de l’horizon. Rien que le sable et la mer, à perte de vue. Quand elle fut épuisée de nouveau, elle se rallongea sur le dos, un bras sur ses yeux. La soif la reprit très vite, et la faim commença à se faire sentir. Pour les fuir, elle s’enferma dans son esprit, tentant de retrouver des vestiges de sa mémoire brumeuse. Elle se rappelait la tempête, la même qui l’avait rattrapée plus tard sur la plage.

    Le bateau tanguait plus fort que jamais, poussé par les vagues et le vent, le pont glissait, mouillé par la pluie. Elle était sortie pour essayer d’aider… Aider qui ? Elle ne se rappelait plus les visages. Elle voyait parfaitement le bateau mais plus les visages. Ni les bruits, tout était silencieux, comme vu à travers une vitre. Elle était tombée aussitôt sortie sur le pont. Elle avait essayé de se relever, s’agrippant aux rambardes. Un éclair avait frappé le mat, et les voiles avaient pris feu. La vigie était tombée, calcinée, aux pieds de la jeune fille. Elle avait reculé brusquement en criant. Elle se rappelait les moindres détails du corps calciné… Elle s’était demandé comment le corps avait pu brûler aussi vite… L’éclair ? Elle ne connaissait rien de la force de ces lumières incendiaires… Le bateau avait de nouveau tangué, plus violement, projetant la jeune fille dans tous les sens. Les clous lui râpaient bras, jambes, visage… Les cordes la cinglaient aussi, elle avait mal partout. Une caisse mal arrimée la percuta dans le dos et elle fut éjectée du bateau et perdit à moitié connaissance. Tantôt elle nageait vaguement, tantôt elle se laissait porter… Et après… La plage…

    Elle n’arrivait pas à se souvenir des événements plus vieux… Sa mémoire était tel un désert couvert de brume, qui ne se dévoile qu’à certains endroits. Une mémoire éclatée, brouillée… Son nom… Elle devait retrouver son nom, pouvoir brandir au moins cet étendard de mémoire…

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Elle prit sa tête entre les mains et éclata en sanglots. Elle n’avait plus rien. Ni famille, ni amis, ni nourriture, ni eau, ni mémoire… Ni nom… Lui restait-il seulement son âme ? Elle n’était sûre que d’une chose concernant ses possessions : sa vie. Et encore… Combien de temps serait-elle à sa disposition ? Si seulement elle savait où elle était… Elle pourrait trouver un village, un fleuve… Rien, elle ne savait rien sur l’endroit sur lequel elle avait échouée.
    Ses yeux la brûlaient à chaque larme, alors, elle se força à arrêter de pleurer. Il lui fallait de l’eau… et de quoi manger et des soins. Et elle s’en rendit compte… Elle avait un autre besoin, plus vague, mais qui le pinçait le cœur. Besoin de présence humaine… de savoir… d’avoir un nom à mettre sur ses mains.

    Elle s’était relevé et marchait à présent en suivant la plage, espérant trouver de la vie près de l’eau, un port de pêche ou de commerce. Une trace d’humanité, n’importe quoi. Sa gorge la brûlait… assoiffée, irritée par le sel… Cette pensée l’obnubilait presque… Elle aurait voulu ne penser qu’à ça… A de l’eau, à de la nourriture, à marcher sans fin sur cette plage. Elle ne voulait pas penser à sa mémoire. Elle ne voulait plus penser.
    Elle continua de marcher, malgré la tombée de la nuit. Une nuit noire, les nuages étant revenus et couvrant lune et étoiles. La jeune fille de voyait pas à deux mètres, et somnolente, encore moins loin… Ainsi, elle ne vit pas le bout de bois flotté enfoncé dans le sable et s’étala de tout son long. Elle jura et donna un coup de poing dans le sable. Elle laissa de nouveau ses larmes couler puis elle se releva. Avec milles précautions, à tâtons, elle s’aventura vers l’énorme forme noire qui se dressait devant elle. Elle pensait que c’était un bateau naufragé, et qu’elle avait du buter contre un morceau cassé du navire. Elle s’allongea contre un pan du navire, recroquevillée, cherchant un abri face au vent et au froid. Le drapeau en lambeaux du bateau claquait au vent, le bois gémissait… Ou était-ce les fantômes de ce naufrage ?



    La jeune fille dormit fort mal et quand elle s’éveilla, son premier geste fut de détailler le bateau. C’était une épave assez récente, le bois n’étant pas pourri. Peut-être même le bateau où elle avait navigué… Son nom était le Sworvan, les voiles étaient déchiquetées et la moitié du bastingage arraché. Le drapeau qui l’avait empêché de dormir pendouillait misérablement au mât principal. Il y avait même deux. Le premier représentait une épée qui fendait les flots et le deuxième… La jeune fille frissonna tandis que le vent les déployait… Une tête de mort blanc ivoire sur un fond noir d’encre…

    Nariel, Challenger n°2<o:p></o:p>

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  • DONG DONG DONG !!!

    Cornes de bouc ! Si une âme bienveillante pouvait trucider le sale rat qui s’obstine à sonner à cette heure indue (en pleine sieste, hein, quel monde) le ***-bas de combat... combat… Cornes de chèvre et autres caprins (ça doit être le ragoût de cabri aux dix épices qui me fait chevroter), je savais bien que j’oubliais un truc important ! Oui, oui, ça me revient maintenant, le combat, bougre de pirate, le combat.
    Quelle chance de m’être écroulée ivre morte sans me désaper hier soir, allez, ma chemise est assez longue, elle est à peu près boutonnée, manquerait plus que l’adversaire aperçoive mes avantages naturels, hardi les enfants et haut les cœurs, parée…

    - A l’abordage ! Hurlais-je en jaillissant de la cabine, telle une furie encore pâteuse des excès de la veille.
    - Pitaine, me souffle mon second, là, c’est nous qui sommes abordés, sauf vot’ respect, ma grande.

    Euh ? Il me tue, ce mec, toujours à pinailler sur les détails. D’accord, il connaît son métier, mais il m’a donné un surnom ridicule (non, non, je ne le révèlerai pas, même contre une barrique du meilleur rhum de Marie-Galante, louanges au Seigneur pour cette invention).

    - Débordons-les ! Hurlais-je aussi sec.
    - Ouais ! Hurlent mes racailles de matelots.

    L’enthousiasme juvénile de ces grands gaillards me réjouit toujours autant. C’est simple, la piraterie, au fond : plus tu gueules n’importe quelle imbécillité, pourvu que tu mettes le ton, plus t’es suivi. C’est comme ça que j’ai gagné ce navire, d’ailleurs, j’ai crié « à la mutinerie » plus fort que le capitaine précédent criait « soyons raisonnables et discutons ». Faut dire, eh eh, que j’ai les organes pour ça ! Il faut reconnaître qu’être une femme dans un monde de brutes épaisses a certains avantages qu’il serait dommage de ne pas exploiter.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>- Ouais !

    Il est temps de réagir, le pont est envahi par des brutes chevelues empestant le bouc (décidément, le ragoût de cabri me poursuit). D’un geste décidé, je me rue au combat le sein nu… non, l’âme nue… non plus, lame nue, voilà, lame nue et embroche le premier voyou qui me croise, pour son bien triste malheur.

    - Argh ! Fait le quasi mourant en s’écroulant dans un bain de sang (et qui va nettoyer le pont ? Pas moi, suis capitaine, eh eh)
    - Bouchette… gémit-il.

    Bouchette ? Satané vingt dieux de rhum ! C’était idiot de vouloir tenir tête hier à Blackie, ma compagne de taverne, c’est toujours moi qui paye les tournées et elle qui reste debout, chancelante mais debout, le lendemain les bouteilles s’entrechoquent dans ma pauvre tête et je ne sais plus qui je tue.

    - Désolée, Pitt, mon brave Pitt, fidèle second, point ne t’avais-je reconnu dans le feu de l’action. Navrée, oui oui.
    Par chance personne n’a rien vu, et comme il vaut mieux que cet accident reste caché, pour ne pas nuire à ma réputation, croyez bien que ça m’a grave déchiré le cœur d’agir ainsi mais la raison d’état ne se commande pas, je le finis discrètement.
    - Compagnons ! Hurlais-je (à force je vais finir enrouée, mmmh, le bon grog que ça va me valoir). Regardez ce que ces lâches ont fait à Pitt !

    Et je brandis le corps sans vie du colosse… disons qu’avec mes 55 kilos toute mouillée je me contente de le désigner.
    Pas possible de reproduire les imprécations qui suivent, ça hérisse mon côté poli. Déchaînés, mes p’tis gars foncent dans le tas à coups de massues, de sabres, de mousquets et plein d’autres horreurs.

    <o:p>

    Le temps que la situation se décante, je retourne à la cabine me jeter un rhum épicé pour me ragaillardir, passer un pantalon et mes bottes (parce que les échardes dans les pieds, ça fait horriblement mal), et quand je reviens, mazette, tout est fini. Ça c’est du pirate, brother ! Garanti à peu près dégrossi, tenant le mauvais vin, sans état d’âme superflu (voire sans âme, superflue ici-bas, les temps sont durs à qui aime la poésie et les perroquets gazouillant sous la mâture). Ma lame est encore maculée du sang de Pitt, je verse un peu de vin sur ma chemise, histoire d’avoir l’air dans le coup, que ne faut-il point faire pour assurer sa pitance, une chemise en soie qui vient de France, et remets pied mal assuré sur le pont.

    - Vive la capitaine ! Rugissent-ils.
    - Merci, les enfants, pillez en face et ensuite vous me nettoyez ce bazar, on risquerait de se faire mal.
    - Ouaiiiisssss ! Vive la capitaine !

    Et puis allez mettre le souk en face, que ma pauvre tête puisse résonner tranquillement dans le hamac qui me tend un oreiller salvateur, mmmhh…. Pas d’autre combat avant demain, merci.
    Quelques heures plus tard, pour fêter cette énième victoire en mer, je leur laisse quartier libre le soir avec quelques conseils pour leurs têtes creuses.

    - Hardi, les gars, rhum à gogo, étripez un poil, forniquez un brin, et rentrez pas trop tard, demain, c’est le concours.

    Le lendemain, c’est le concours. Fraîche comme une rose, mise en plis du dernier chic, et robe rose à volants qui volette au vent des alizés... mais non, je rigole, une robe, franchement !
    - Je déclare ouvert le concours pour l’élection du fidèle second ! Les vaillants volontaires se départageront par duel à mort au couteau, cinquante mètres nage libre coursé par requin et le premier au poste de vigie sans s’écraser sur le pont.
    Top chrono !

    <o:p>

    Etonnamment, les candidats ne se pressent pas, les gaillards triturent leurs ceintures d’un air faussement détaché ; pourtant, ça a des avantages, le poste de second, quand on ne se met pas stupidement en travers de la route mal débourrée de sa capitaine.

    - Hum ?
    - Capitaine ?

    Nakunoeil se présente, gratouillant son bandeau, et vraisemblablement envoyé par ses petits camarades parce qu’il passe pour mon chouchou. Bon, un joli marin rasé de près par Wilkinson, l’affûteur du bord, avec une cicatrice discrète et un bandeau noir, ça m’émeut toujours, je suis une sentimentale, parfois même devant un verre de rhum je…

    - Capitaine, on voudrait dire, les potes et moi, comme qui dirait, le couteau, le requin et tout ça… c’est carrément dangereux.
    - On ne plaisante pas avec les traditions, matelot. C’est ainsi depuis la nuit des temps, on choisit le plus courageux et pas le plus intelligent pour ne pas faire d’ombre au capitaine.
    - Ben ouais mais personne n’a envie de se faire ouvrir le ventre, on a pensé un peu, et on a eu une idée, si on peut causer, là, ce serait cool. Avec vot respect.

    Un arrangement me va pile poil, déjà je n’aime pas trop la vue du sang, et puis avec ces idioties de traditions, on perd de l’effectif bêtement. Il y a quand même quelque chose qui me tracasse, dans cette histoire : ils sont tous propres comme des drakos neufs, les chemises tombent impeccables blanchies au savon noir, les chevelures sont soigneusement tressées et les armes brillent sous le soleil radieux (le soleil est toujours radieux dans ces sôteries).

    <o:p>

    - Et cette idée fumeuse ?
    - Un concours du plus beau porté de collants… souffle Nakunoeil.

    Du plus beau porté de collants ??? Pourquoi pas ? Il faut un peu d’originalité, sinon on verse dans la monotonie, et quand on s’ennuie, on picole sec, et je ne vous fais pas un dessin. Légèrement estomaquée mais consentante, j’assiste à un défilé de pirates mâlement moulés dans des collants écarlates, priant le ciel que cette élection ne fasse pas les gorges chaudes à la prochaine réunion des Sanglants Pirates Sans Pitié, confrérie à laquelle je viens juste d’adhérer (en soudoyant par des moyens inavouables le grand chef sioux, mais quand on est une femme dans un monde de brutes, etc). On choisit à l’unanimité un grand diable d’Irlandais à la barbe rousse de trois jours, ma foi, pas mal bâti, le bougre – pour être second, hein, qu’allez-vous penser ?

    - Tu t’appelles comment, mon brave ?
    - O’Clooney, balbutie-t-il avec un accent mal défini.
    Oh, un timide, c’est-y pas mignon tout plein…
    - Viens dans ma cabine, que je t’explique tes nouvelles fonctions. C’est assez long.

    Faut savoir être ferme, quand on est capitaine (second aussi) !
    Oh oh… ça ne fait pas trois jours qu’on a quitté le port et voilà qu’une délégation m’attend sur le pont quand je quitte ma cabine sur le coup de midi… enfin, une délégation, s’entend, tout l’équipage est là, et ils ne portent plus de collants immaculés, ce coup-ci, le soleil radieux s’est fait la malle, O’Clooney est épuisé par ses nouvelles charges, bref ça commence mal. Je dirais même qu’il y a dans l’air comme une fragrance de mutinerie.

    BoucheDoree, challenger n°1<o:p></o:p>

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  • Tout d'abord l'ensemble des pigistes de la Gazette voudrait remercier tous les participants pour leurs récits, il faut bien le dire d'excellente facture.

    Il nous a fallu n'en choisir que 3 mais si toutefois vous ne faites pas partie des 3 challengers sachez que nous vous remercions pour le plaisir qui nous a été donné de vous lire !!! Bravo à vous !!!

    Dans les pages suivantes, amis lecteurs, vous allez maintenant découvrir les 3 récits que nous avons sélectionné pour votre plaisir ! Après lecture il vous faudra voter pour le Challenger de votre choix et celui qui remportera le plus de voix deviendra l'heureux gagnant de notre concours et pourra publier la suite de son récit dans les gazettes suivantes !
    Pourvoter il suffit d'envoyer un message à Undomiel <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_i1025 style="WIDTH: 13.5pt; HEIGHT: 13.5pt" alt="" type="#_x0000_t75"><v:imagedata o:href="http://www.zepirates.com/img/smileys/clin.gif" src="file:///C:/DOCUME~1/HP_PRO~1/LOCALS~1/Temp/msoclip1/01/clip_image001.gif"></v:imagedata></v:shape>

    Alors par ordre alphabétique, je vous demande d'acclamer :

    Challenger n°1 : BoucheDoree
    LES AVENTURES INENARRABLES ET PROPREMENT TERRIFIANTES DE BOUCHE DOREE, CAPITAINE DU MOINS QUE RIEN

    Challenger n°2 : Nariel
    LE REFLET DE LA MER

    Challenger n°3 : Redemption
    HISTOIRE DE DAVIS

    N'oubliez pas de voter !!!! <o:p></o:p>


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  • Chers lecteurs, voici le sommaire qui vous permettra tel une boussole sur les mers de vous orienter dans la gazette !


    p 1 ............................. Edito - Saramuch
    p 2 .............................
    Sommaire
    p 3 ............................. Concours d’histoire - Bilan
    p 4 à 8 ...................... Challenger n°1 (surprise)
    p 9 à 12 .................... Challenger n°2 (surprise)
    p 13 à 16 ................. Challenger n°3 (surprise)
    p 17 …...................... Avis de Recherche - Tereur-de_mers
    p 18 .............….........
    Vos Zinfos - Angedesmers
    p 19 ..........................
    Facilitons-nous le jeu - Angedesmers
    p 20 à 22 ................. Voyance - Auréanne
    p 23 .......................... Blagues sur Halloween - Lmf
    p 24 .......................... Concours d’Halloween - Saramuch
    p 25 à 27 ............…. A vos risque en cuisine - Igor_tetdemor
    p 28 ….........….….... De mon temps - Undomiel
    p 29 .......................... Féterez vous Halloween - résultats - Undomiel
    p 30 .......................... Courier des lecteurs - Saramuch
    p 31 à 32 ............…. Devenir Pigiste - Undomiel
    p 33 .......................... FAQ-Devenir Pigiste - Undomiel
    p 34 ……….............. L’équipe de la Gazette<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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  • La Gazette de l'ile / N°13 édition du dimanche 29 octobre 2007


    Bonjour à tous nos lecteurs !!!

    C'est un plaisir comme à chaque fois de vous retrouver ! En cette semaine d'Halloween, période faste pour les monstres errants aux alentours et où le grand froid commence à se faire sentir, plusieurs options se proposent à vous :

    Décider de rester bien au chaud dans votre cabine, avec un bon grog et votre Gazette, et ainsi découvrir qui sont les 3 challengers du concours d'histoire qui ont été sélectionné par l'équipe !!!

    Affronter les monstres et que sais-je encore, et nous ramener la description du monstre mystérieux....

    Remonter le moral aux pigistes et rédiger une missive pour le courier des lecteurs...

    Ou encore plus dangereux encore, tester par vous même une des recettes spécialement mijotées pour l'occassion par notre cuistot en chef Igor... Vivants, passez votre chemin !!!

    Bref pour tout savoir jetez vous sur le sommaire en page 2 !!!

    Et que la chance soit avec vous pirates et piratesses si vous deviez choisir de sortir dans la sombre nuit d'Halloween... la gazette peut vous procurer bien du plaisir mais ne sera hélas pas très utile comme arme de défense contre une horde de rats géants ou un attroupement de spectres ténébreux...

    Saramuch <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


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